(VOVWORLD) - Le président russe Vladimir Poutine a eu vendredi 18 mars une réunion avec son Conseil de sécurité sur l’opération militaire spéciale menée dans l’Est de l’Ukraine.
Un blindé russe en Crimée, le 25 février 2022. Photo: AFP/TTXVN |
Le Kremlin a accusé l’Ukraine de prolonger les pourparlers de paix.
Vendredi toujours, le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a déclaré que Moscou n’autoriserait pas le transfert à l’Ukraine des systèmes de missiles de défense aérienne S-300 et que toute livraison d’armes à l’Ukraine serait considérée par la Russie comme un casus belli.
Il s’est dit convaincu que son pays surmonterait cette période difficile. Le chef de la diplomatie russe a aussi indiqué qu’actuellement, le président et le gouvernement étaient en train d’élaborer et de mettre en oeuvre les mesures nécessaires. Ce n’est que le début de l’ajustement de la politique économique pour s’adapter aux nouvelles circonstances, a affirmé Sergueï Lavrov, ajoutant que la Russie n’était pas fermée à l'Occident, mais qu’au contraire, c’était l’Occident qui se fermait à elle.