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Selon une porte-parole de l’armée israélienne, 750 Palestiniens ont participé à des «désordres» près de la frontière en jetant des pierres vers des soldats, qui ont répliqué «en utilisant des moyens anti-émeutes et en tirant conformément aux procédures opérationnelles habituelles». Les manifestants réclament également le droit au retour des réfugiés qui ont fui ou qui ont été chassés de leurs terres lors de la création d’Israël en 1948.  

Au moins 235 Palestiniens ont été tués par des tirs israéliens lors de ces manifestations ou dans des bombardements depuis le début du mouvement de protestation.