Le Premier ministre Benjamin Netanyahu. Photo: Getty

Ces exigences, qui comprennent l’expulsion totale des dirigeants du Hamas, la démilitarisation complète et l’établissement d’un contrôle sécuritaire israélien sur l’enclave, interviennent paradoxalement après la restitution des corps de quatre otages par le Hamas.

Cette position durcie suscite l’inquiétude des observateurs régionaux, qui y voient un possible obstacle aux négociations de la phase 2 de l’accord de cessez-le-feu. La première phase, initiée le 19 janvier pour six semaines, arrivera à échéance le 1er mars, tandis que les pourparlers pour la seconde phase, initialement prévus début février, n’ont toujours pas débuté.