Le nombre de cas a augmenté rapidement depuis le recensement du premier cas en mai. L'administration Biden l’a ensuite classé comme urgence nationale de santé publique.
Au moment où les doses manquent dans le pays, l'Agence américaine des médicaments (FDA) a autorisé, mardi, les injections intradermiques. Cette nouvelle stratégie doit permettre d'utiliser moins de produit par injection et donc «d'augmenter le nombre total de doses disponibles jusqu'à cinq fois», a déclaré la FDA.
Cependant, selon Paul Chaplin, PDG de Bavarian Nordic, la société qui fabrique le Jynneos, qui est le vaccin contre la variole du singe commercialisé aux États-Unis, il n'y a pas suffisamment de données de sécurité sur cette pratique et plus d'études sont nécessaires.