Les pays s’inquiètent de l’escalade militaire en Syrie
(VOVWORLD) - L’Egypte a fait part samedi 14 avril de sa profonde inquiétude face à l’escalade militaire en Syrie de nature à affecter la sécurité du peuple syrien et à menacer l’apaisement des tensions.
Sans mentionner de manière explicite ces frappes, le ministère égyptien des Affaires étrangères a dénoncé l’utilisation d’armes interdites par la communauté internationale sur le territoire syrien et a demandé une enquête internationale transparente.
Le président bolivien Evo Morales a dénoncé "l'attaque irréfléchie de Trump contre le peuple frère de Syrie".
Cuba a estimé que cette "attaque atroce" "constitue une violation d'un État souverain, qui aggrave le conflit".
Et Caracas a fustigé une attaque "impitoyable et injustifiée".
Le président brésilien Michel Temer a exprimé sa "profonde préoccupation face à l'escalade du conflit militaire en Syrie". Son homologue mexicain Enrique Peña Nieto a dénoncé les attaques chimiques, demandant la fin du recours à "ces instruments aux conséquences si cruelles" "à travers le droit international".