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Le président bolivien Evo Morales a déclaré qu’il condamnait fermement la tentative de coup d’État au Venezuela par la droite soumise aux intérêts étrangers.

Le président cubain Miguel Diaz-Canel a dénoncé mardi la rébellion de soldats vénézuéliens contre Nicolas Maduro, auquel il a renouvelé son ferme soutien.

La Russie a aussi dénoncé l’attitude de l’opposition radicale qui a une nouvelle fois recours à des méthodes violentes de confrontation.

La Turquie a également apporté son soutien à Nicolas Maduro.

Le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres a appelé tous les protagonistes du conflit à éviter le recours à la violence et à prendre des mesures immédiates pour rétablir le calme.

Le gouvernement espagnol, qui suit avec attention les événements qui agitent le pays, a plaidé pour des élections pacifiques et a exhorté les protagonistes à éviter une effusion de sang.

L’Union européenne, elle, rejette toute forme de violence et appelle à la plus grande retenue pour éviter la perte de vies et une escalade des tensions, a déclaré la cheffe de la diplomatie Federica Mogherini. L’Union européenne se tient fermement au côté du peuple vénézuélien et de ses aspirations démocratiques légitimes, a-t-elle assuré.

La Colombie, pays voisin du Venezuela, a demandé une réunion d’urgence du Groupe de Lima, qui est composé de 13 pays latino-américains et du Canada qui ne reconnaissent pas le régime de Nicolas Maduro.