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Selon celle-ci, les dirigeants vietnamiens ont élaboré un programme d’envergure pour éradiquer la corruption, qu’ils considèrent comme un « agresseur intérieur ». Interviewé par Sputnik, le professeur Vladimir Kolotov, directeur de l’institut Hô Chi Minh de l’Université nationale de St.Pétersbourg, a fait remarquer que dans la lutte anti-corruption initiée par le Parti communiste vietnamien, il n’y avait « ni zone interdite ni exception ». « Même des officiels de haut niveau doivent endosser leurs responsabilités disciplinaires et pénales », a-t-il fait valoir. Selon lui, lors de cette conférence, les participants se sont accordés sur l’importance d’appliquer la pensée Hô Chi Minh sur l’intégrité du Parti dans la période actuelle de l’histoire vietnamienne.