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Plusieurs pays du Golfe, dont les Émirats arabes unis, le Qatar et le Koweït, ainsi que la Jordanie ont salué le rôle de médiateur joué par Riyad, y voyant une initiative favorable à la stabilité régionale et internationale. La présidence palestinienne a également exprimé son soutien, estimant que cette démarche reflète l’engagement de l’Arabie saoudite en faveur de la paix.

De son côté, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a déclaré avoir appris l’existence de ces pourparlers par la presse. "Toute négociation concernant l'Ukraine doit impliquer Kiev et l’Europe", a-t-il insisté. Une position partagée par le député néerlandais Ruben Brekelmans, qui a écrit sur X: "Il ne peut y avoir de négociations sur l'Ukraine sans la participation des Ukrainiens. L'Europe doit être à la table des discussions."

Enfin, le président français Emmanuel Macron adopte une position plus nuancée. Qualifiant ces échanges russo-américains de "signal positif", il plaide néanmoins pour une participation européenne aux négociations.