(VOVworld) - L’accord de cessez-le-feu à Alep conclu mardi 13 décembre fut bref. Dès mercredi matin, il était déjà suspendu. Décidé lors de négociations entre les insurgés et la Russie, alliée clé du régime de Damas, et avec l’aide de la Turquie, il prévoyait l’évacuation immédiate de combattants rebelles et de civils après quatre mois de siège et de bombardements de la ville.
Photo: OMAR SANADIKI / REUTERS |
Mais le processus qui devait commencer à 5 heures (heure locale) n’a pu avoir lieu en raison de nouveaux bombardements.
L’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), une organisation non gouvernementale sise à Londres et disposant d’informateurs sur le terrain, a confirmé ces bombardements. « Il y a eu ce matin au moins 14 obus tirés par les troupes du régime sur le carré tenu par les rebelles, et ce pour la première fois depuis mardi soir. » Les rebelles ont riposté.